Près d'un demi-siècle avant la publication de Baise-moi, quand Fanon écrit sur la situation des Noirs dans la réalité coloniale, il tisse déjà un lien structurel entre le retournement de la violence, l'appropriation de la subjectivité, et la mise à mal des catégories identitaires. Bien que deux générations séparent les auteurs, ils partagent la logique d'un discours qui, enjoignant à la rébellion face aux oppressions systémiques--que celles-ci soient genrées ou raciales (7)--demande un rebrassage complet des cartes. Dans un mouvement apparemment similaire, Despentes et Fanon invoquent la fin d'un système de classes tout en embrassant l'apode d'énoncer leur expérience à partir de...
pour les srabs comme nous qu'envoyons du kiff au kilomètre avec des p'tits livres chanmés pour vous les babtous notre cauchemar façon freddy krueger les griffes de l'enfer c'est de téma toute notre biblio cramer comme une vieille putrescence moisie alors qu'on est en pyj les youks à l'air à faire ouin ouin !!! ça serait gros seum la vérité ben dans le roman de ray des fesses loool !!! c'est ça le quotidien des boss de la lecture c'est de se faire pulvériser la savoir lettré façon schwartzy en grind lance flamme sur ta caboche bernard pivot prend une calotte !!!
Baiser Profond Dans Le Cul
ça se passe aux USA et en gros là bas c'est tous des gros pétés de la ganache ils bouffent les vieilles émissions de daube all day long style le juste prix le bigdil splatch le grand plongeon the voice une famille en or tahu HASHTAG DEBILITE PROFONDE et ils crachent leur race sur les bg qui lisent en scred genre BOUM VERLAINE BAM BALZAC prends ça dans tes seufs !!! alors y a guy montag le keum héros sérieux grosses barres le blaze déjà il voit une gow clarisse elle a que 17 piges mais elle est gaulée comme monica bellucci et aussi elle a le QI des frères bogdanov sans dec' magueule les additions les soustractions elle te fait ça izi sans les mains !!!
elle fait du YOLO à toutes les sauces elle kiffe juste son bouli dans une société où les darons font que de se baver sur leurs cuissots et montag il se dit "j'vais lui mettre une disquette à la mineure ma meuf mildred elle va rien capter !!!!" parce que sa zouz elle fait des réunions tupperware elle est total fracasse de la connerie elle parle à son mur !! sérieux ça démarre narvalo !! alors un jour guy la ganache il se pointe parce que comme il est pompier il doit sauver les gens izi et là y a une meuf qu'a l'air trop aux abois !!!
du coup PIMPONPIMPON !!! mais en fait les pompiers c'est des gros shlags la meuf ils viennent pour lui cramer les einss et niquer toute sa biblio avec vla les guillaume musso et katherine pancol dedans mdrrr le seum qu'elle se tape la vioque !!! en fait on l'a poucave et tous ses bouquins de cuisine de topchef masterchef cyril lignac FFFRRR (c'est le bruit du feu mdrr !!) AU FEU !!! AH ELLE A BIEN LES GLANDES MAÏTÉ mdrrr !!! et guy moquet en mode tarba il choure un bouquin en scred un truc de boules un manuel de pétanque pour tirer le cochonnet susu !!
mais là guy roux il sent bien ça a fait indiana jones dans sa teté et du coup il va voir son prof de 5eme B d'anglais monsieur faber mais faber c'est tom cruise façon minority report il donne des ketrus à guytoune pour qu'ils puissent s'envoyer des fichiers .ZIP pour foutre le dawa chez les pompiers bodybuildés et ça part trop en dawa montag il finit par cramer les poils pubiens de son boss et il devient ennemi public numéro 1 la fouine à miami tmtc hemdoulah paix à son âme !! et il se fait maltraiter par le limier un mixeur BRAUN tueur en série !!!
le limier il t'injecte de la morphine en deux deux tu planes à dix milles tu vois des zouz qu'ont des zboubs du coup montag se jette dans le mississippi et là il voit tous les gros boss de harvard qui sont là comme des babos à fumer des oinj et écouter bob marley et leur délire c'est d'apprendre par coeur chacun un quinbou comme des gros coinssos pour pas que la littérature elle crève c'est trop michto sérieux !!! c'est les aspirateurs en mode massacre à la tronçonneuse c'est oui-oui qui brûle son kho potiron et les p'tites zouz qui te retournent la quéquette c'est fahrenheit 451.
DAns le No 2 du second volume de notre Revue nous avons inséré une traduction excellente du discours de réception de M. Alexandre Dumas fils à l'Académie française. Nous nous sommes permis de l'annoter, pour rester scrupuleusement dans le vrai, quant aux appréciations relatives au théâtre que nous admettons dans la Warande. Il était du reste bien nécessaire que, dans le cercle du public de nos lecteurs, la question du théâtre moderne fût, une fois pour toutes, mise à l'ordre du jour. Nous croyons que, même dans cette matière, il n'est pas couvenable de juger, voire de condamner, sans avoir entendu.
de transformer en chaussée le sable profond, où les roues s'engouffrent - pauvres chevaux! - elle rendrait de jolis intérêts aux entrepreneurs, mais on préfère la routine et le transport des anciens jours. A cause d'une certaine terre que l'on prend sur la grève et dont on se sert comme engrais, la route est toute blanche, ce qui fait mal aux yeux et est d'un effet singulier; puis sensiblement on se trouve arrivé sur la grève même.
grandiose, de plus prestigieux. Le silence de la contemplation, voilà ce qui s'empare de vous. On ne comprend pas que l'homme ait été capable de produire ce résultat, d'entreprendre avec la pierre et l'équilibre cette lutte surnaturelle, d'où lui est venu dans les ténèbres de toute science cette clarté, cette intuition de l'architecture. C'est que dans ces temps là (comme de nos jours la physique et la chymie), l'architecture était innée, c'était le grand courant de l'esprit humain, l'architecture au service de la foi et du sentiment de l'éternité se produisant avec l'ère nouvelle, le jeune et frais réveil, l'aurore rougissant l'horizon. Puisqu'on avait la durée, on ne se pressait pas. Aujourd'hui que la société qui branle sent vaguement que cela ne tiendra pas et que bientôt notre ordre de choses va s'effondrer et que des bouleversements sociaux, politiques et religieux, vont amener une époque encore enfermée dans les limbes de l'avenir, comme on se presse de vivre et de réaliser!
lesquels ce point est unique. Puis rien n'est plus amusant que de passer en revue les arrivées et les départs dans cette espèce de cul de sac mal pavé. On n'a qu'à se mettre devant l'hôtel et de regarder, et on est sûr d'avoir toute une journée de vraie et humouristique récréation.
familiarise avec le mal, tout en assistant à sa flagellation. Mais ce que nous redouterions pour le grand public, nous ne le craindrions pas autant pour le public du théâtre français, et nous sommes assez porté à reconnaître que d'un côté les Phèdres, dans notre société, n'attendront pas la représentation de la Phèdre antique pour s'amouracher du fils de leur mari, tandis que de l'autre une belle-mère comme-il-faut ne se prévaudra pas de l'exemple de la malheureuse femme de Thésée pour faire une déclaration d'amour dont l'état civil se refuserait à subir les conséquences.
tous les comiques, ait des habitudes à lui, des façons de se tourner qui lui appartiennent, et qui se produisent dans tous les rôles marqués; mais nous n'oserions affirmer que c'est un défaut. Notre grand Rombach dans le temps, surtout le si réputé Rosenveld, eux aussi avaient leur petites mines et leurs sons de voix très caractéristiques: mais c'est ce qu'on aime, et de droit. Le public, l'amateur, ne veut jamais être entièrement illusionné; il aime ce qui distingue entre tous son favori, fut-ce même ce qui dans tout autre serait un défaut. Cette qualité qui relève légèrement de la charge est tellement inhérente à l'objet de sa sympathie que, pour tout au monde, il ne voudrait pas qu'il s'en defit. Et il n'a pas tort, - c'est la griffe de Rembrandt, de Romeyn de Hooghe, de Troost. 2ff7e9595c
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